France Gall, 1963-1967.
Perdues au milieu de toutes les nunucheries yéyé qu'a chantées France Gall au début de sa carrière (sachant que les années 60 c'est aussi la seule période qui m'intéresse chez elle, après... bof), on trouve quelques jolies réussites. Il y a les plus connues, telles l'inaugurale N'écoute pas les idoles (1964), les suggestives Sucettes (1966), la lysergique Teenie Weenie Boppie (1967), toutes signées Gainsbourg, ou encore le trompettant Bébé requin (1967) du trio Rivat-Thomas-Dassin... Mais aussi des moins connues, comme le swinguant Pense à moi (1963), le très cadencé Cet air-là (1965), deux titres co-écrits par papa Gall, et surtout un autre Gainsbourg, Attends ou va-t-en (1965), peut-être ma chanson préférée de France Gall.
Aucun rapport mais j'aime bien: Paprika, Japonese Breakfast, 2021.
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