Les Cahiers (avec Godard) dans le rétro.
En guise de prologue.
Les Cahiers, ça y est, 70 ans au compteur! Si l'histoire des trente premières années (1951-1981) — les trente glorieuses — a été écrite, par l'historien de la revue, Antoine de Baecque, auxquelles on ajoutera les dix années suivantes, évoquées dans un double numéro des Cahiers, paru pour leur 40e anniversaire, il s'avère que l'histoire des trente dernières (1991-2021), elle, reste à écrire. On peut les trouver moins stimulantes (bien que portées, chez ceux qui ont repris le flambeau et poursuivi l'aventure, par ce même désir de films et de cinéma que leurs prédécesseurs) — sans pour autant les qualifier de "trente piteuses", comme le laissent entendre ceux qui demeurent dans le regret perpétuel de la chose passée —, sachant que, là c'est un fait, le manque de recul est un facteur limitant, au sens où plus on est proche de la chose passée (en l'occurrence une période de l'histoire des Cahiers), plus le regard qu'on porte sur celle-ci sera incomplet, focalisé, et donc difficilement juste.
C'est pourquoi je ne tiendrai pas compte de la nouvelle période, beaucoup trop récente (et de plus perturbée par la pandémie de covid, entravant, faute de films, la mise en place d'une vraie ligne directrice, de celle qui oriente le choix des films qu'on défend), et quasiment pas de celle qui a précédé, plus marquée politiquement, et dont on retient surtout pour l'instant le clash de fin: la démission collective de tous les membres (ou presque) de la rédaction après le rachat de la revue par un groupe d'actionnaires parmi lesquels, on le sait, des producteurs de cinéma et des propriétaires de médias, Stéphane Delorme jugeant impossible un tel partenariat du fait des risques de "conflits d'intérêts et de pressions politiques". Si j'en parle quand même, c'est que cette ultime crise dans l'histoire mouvementée des Cahiers n'a fait que raviver une question essentielle qui accompagne la revue depuis toujours, depuis surtout son premier rachat en 1964 par Filipacchi (signant à l'époque la fin des "Cahiers jaunes"): la question de son indépendance. Je l'avais évoqué l'an dernier sur l'autre blog et, plutôt que d'y renvoyer, je republie la note:
Les Cahiers échappent à quoi?
"Qu’est-ce que j’peux faire, Chappaqua faire" disait, on s’en souvient, Marianne Renoir dans Pierrot le fou, avant que Conrad Rooks ne reprenne à son compte cette très existentielle interrogation. Et de répondre: pourquoi pas un film? Et d’imaginer, le petit malin, de filmer n’importe quoi n’importe comment, sur des kilomètres de pellicule..." C’est ainsi que débutait, dans leur compte-rendu de Venise, la note des Cahiers (n°183, octobre 1966) en réponse à Daniel Filipacchi et Régis Pagniez qui avaient décidé, sans l’accord de la rédaction, de promouvoir Chappaqua, le film "psychédélique" de Rooks (un ami de Pagniez), prix spécial du Jury, et ce à grands coups de pub: une couverture en couleurs avec Paula Pritchett, l’actrice du film, et dix pages de photos et de textes empruntés au dossier de presse — une note collective (dont on peut imaginer Fieschi et Narboni derrière) qui, selon de Baecque, aurait provoqué une bagarre entre les critiques, auteurs de la note, et Pagniez venu en découdre dans les bureaux de la rédaction. Pour autant, un feu de paille... Filipacchi n’imposant rien d’autre par la suite, dès l'instant que la revue (qui ne fut jamais les "Cahiers-yé" tant redoutés par Truffaut) restait rentable. C'est en octobre 1969 que la rupture sera prononcée, suite à des ventes nettement en baisse et surtout la radicalisation politique de l’équipe, désireuse (sous l’impulsion de Comolli et Narboni) d’en finir avec ce partenaire encombrant qu’était Filipacchi, symbole, à travers l’Union des Editions Modernes qu’il dirigeait, de ce capitalisme bourgeois qu’elle exécrait désormais, détestation d’autant plus forte que l’alliance devenue contre-nature entre les Cahiers et Filipacchi était l’objet de railleries de la part de l’intelligentsia de gauche. Car si c’est Filipacchi qui, après le n°216, décida de la rupture (en bloquant l’accès au bureau des Cahiers et décrétant la "grève illimitée des dirigeants", "la grève des patrons", comme écriront ironiquement Comolli et Narboni), c’est bien la rédaction qui l’aura provoquée, autant par ses éditoriaux, de plus en plus virulents (celui du n°216 est une attaque directe contre tout ce que représente Filipacchi), que par des textes toujours plus opaques.
Si l’enjeu est bien l’indépendance de la revue, on voit que ce tournant — dont on connaît les suites: tractations (entre autres pour racheter les parts de Filipacchi), politisation poussée à l’extrême (le maoïsme, ça rigole pas), théorisation de la critique, rejet de la cinéphilie... et fuite inévitable des lecteurs — n’a pas beaucoup de rapport avec l'épisode récent qui a précipité le départ de Delorme et son équipe. D'abord parce que Filipacchi, s'il était féru de jazz et de cinéma américain, était avant tout un homme de presse, ce qui est différent (le lien à une revue qu'on possède est quand même plus étroit, quelles que soient les motivations qui ont présidé à son acquisition)... aussi parce que les Cahiers entraient, à la fin des années 60, dans la période la plus trouble de leur histoire, qui se voulait révolutionnaire et, à ce titre, allait les faire passer à côté des grands films de l'époque (notamment américains), aveuglés qu'ils étaient par leur anti-impérialisme, vécu dans un esprit ultra dogmatique, pour ne pas dire "garde rouge", qui culminera en 1972-73 (sous l'influence entre autres de Pakradouni, "l'homme qui voulait se passer des films")... période marquée parallèlement par l'écriture de grands textes théoriques sur le cinéma, certains ardus (Oudart), d'autres moins (Daney, Bonitzer), des textes dont on ne peut nier ni la rigueur ni la richesse. Les Cahiers de Delorme, ce n'était pas ça. Un anti-macronisme affiché, surtout à travers les éditoriaux, mais pour le reste, une ligne éditoriale pour le moins floue sinon fluctuante quant au choix des films à défendre. Cette ligne était-elle menacée avec l'arrivée des nouveaux repreneurs? Oui, dans une vision aprioriste des rapports entre une équipe rédactionnelle, nécessairement attachée à son indépendance, et ceux qui la financent, dès l'instant qu'il existe entre les deux ce qu'on appelle des liens d'intérêts, et que ces liens, du fait d'une pression trop forte, se transforment en conflits d'intérêts, ne garantissant plus l'impartialité de la rédaction. Craindre de tels conflits est une chose (qu'on peut dire souhaitable pour mieux s'en prémunir), préjuger qu'ils sont inévitables en est une autre. C'est ça pourtant qui a poussé Delorme et Tessé à faire jouer la clause de cession. Décision respectable mais discutable tant elle semble guidée par des considérations purement idéologiques, qui supposent que toute activité entrepreneuriale renvoie de fait au pouvoir en place et que, y collaborer, serait faire allégeance à l'ennemi juré. Comme si en 1964 les Cahiers avaient refusé le rachat par Filipacchi, arguant qu'avec lui, image même de l'affairiste, ils n'auraient plus les mains libres (ou simplement par principe: on ne collabore pas avec l'ennemi même s'il vous fout la paix, c'était la position de Godard qui n'était plus aux Cahiers depuis longtemps mais avait voix au chapitre, sans qu'il soit d'ailleurs nécessaire de le solliciter), alors que c'est tout le contraire qui s'est passé, la revue s'ouvrant à la modernité, rompant avec le classicisme de la cinéphilie pure et dure, dans un parfait cloisonnement des rôles, que l'incident "Chappaqua" n'aura fait finalement que mettre en valeur.
Qu'en sera-t-il avec les nouveaux Cahiers, à partir de juin 2020, et surtout l'automne prochain? Gardons-nous d'abord des malentendus. Quand Eric Lenoir, un des vingt du groupe et nouveau directeur de la publication, plaide pour une revue plus "riche et conviviale", témoigne-t-il d'une volonté réelle des dirigeants qu'on y parle davantage et mieux des films français, ou simplement du désir de refonder la maquette (se rappeler pour l'anecdote les horribles couvertures, imposées par Phaidon l'ancien éditeur, qui ont défiguré pendant plusieurs années les Cahiers de la période Delorme), dans un style plus contemporain, comme ce fut le cas, justement, avec l'arrivée de Filipacchi, à ce niveau une vraie réussite. Autre question: le fait d'avoir affaire à tout un groupe d'actionnaires est-il réellement un danger pour l'indépendance de la rédaction, sous prétexte qu'il est plus difficile de résister à la pression d'une vingtaine de personnes que d'une seule? C'est ce qu'avancent les anti(déjà)-nouveaux Cahiers, mais rien, là non plus, ne permet de l'affirmer tant la multiplicité des intérêts peut aussi avoir un effet inverse, les intérêts n'étant pas les mêmes pour tous, ce qui finalement amenuise la pression. Ce qu'on peut en revanche opposer, prolongeant ce que dénonçait Delorme à propos du conflit d'intérêts, c'est qu'il ne s'agit pas d'actionnaires comme les autres mais, pour ce qui est de certains, de producteurs dont il est logique de se demander comment la nouvelle rédaction parlera de leurs films si d'aventure ils ne lui plaisent pas. Se risquera-t-elle à en dire du mal? Pire, si à l'inverse ils lui plaisent et qu'elle décide de les défendre, cela ne sera-t-il pas perçu comme le signe d'une bienveillance coupable? A l'heure de la défiance généralisée, c'est tout le défi que va devoir relever Marcos Uzal. Parce que, sur la ligne éditoriale, on peut se montrer confiant, même si on ne sait rien encore de ce qu'elle sera (on peut néanmoins s'en faire une petite idée à travers le texte "La foire aux auteurs" qu'avait écrit Uzal l'an dernier dans Trafic où il développait, en même temps qu'il rendait compte des films vus à Cannes, son rapport à la politique des auteurs). Mais, à bien réfléchir, ne pose-t-on pas le problème à l'envers? Le risque n'est-il vraiment que du côté de la rédaction? On peut parfaitement concevoir que ce sont surtout les producteurs qui ont pris un risque en participant au rachat de la revue, sachant que les Cahiers c'est, autant qu'une marque, une institution qui en soixante-dix ans n'a jamais cédé sur son indépendance, quand bien même la menace était présente, et qu'aujourd'hui il n'y a pas de raison que cela change (je vois mal Uzal ne pas obtenir de garanties à ce niveau avant d'accepter le poste). Pour le dire autrement: racheter les Cahiers quand on est producteur de films n'est-ce pas prendre le risque (calculé) que la revue en dise parfois du mal (de nos films), espérant que la prochaine fois, pour d'autres films (qu'on aura produits), eh bien, l'accueil sera meilleur. Vu comme ça, la question de la liberté rédactionnelle ne se pose plus, du moins en ces termes, même s'il demeurera toujours des facteurs plus difficiles à contrôler, comme dans toute revue... Rien n'empêche dès lors de poursuivre l'aventure. Et faire que les Cahiers échappent une nouvelle fois à ce qu'on leur prédit depuis trente ans... Echappent à quoi? (et Chappaqua?) Bah à leur propre mort, régulièrement annoncée, toujours repoussée.
Qu'en sera-t-il avec les nouveaux Cahiers, à partir de juin 2020, et surtout l'automne prochain? Gardons-nous d'abord des malentendus. Quand Eric Lenoir, un des vingt du groupe et nouveau directeur de la publication, plaide pour une revue plus "riche et conviviale", témoigne-t-il d'une volonté réelle des dirigeants qu'on y parle davantage et mieux des films français, ou simplement du désir de refonder la maquette (se rappeler pour l'anecdote les horribles couvertures, imposées par Phaidon l'ancien éditeur, qui ont défiguré pendant plusieurs années les Cahiers de la période Delorme), dans un style plus contemporain, comme ce fut le cas, justement, avec l'arrivée de Filipacchi, à ce niveau une vraie réussite. Autre question: le fait d'avoir affaire à tout un groupe d'actionnaires est-il réellement un danger pour l'indépendance de la rédaction, sous prétexte qu'il est plus difficile de résister à la pression d'une vingtaine de personnes que d'une seule? C'est ce qu'avancent les anti(déjà)-nouveaux Cahiers, mais rien, là non plus, ne permet de l'affirmer tant la multiplicité des intérêts peut aussi avoir un effet inverse, les intérêts n'étant pas les mêmes pour tous, ce qui finalement amenuise la pression. Ce qu'on peut en revanche opposer, prolongeant ce que dénonçait Delorme à propos du conflit d'intérêts, c'est qu'il ne s'agit pas d'actionnaires comme les autres mais, pour ce qui est de certains, de producteurs dont il est logique de se demander comment la nouvelle rédaction parlera de leurs films si d'aventure ils ne lui plaisent pas. Se risquera-t-elle à en dire du mal? Pire, si à l'inverse ils lui plaisent et qu'elle décide de les défendre, cela ne sera-t-il pas perçu comme le signe d'une bienveillance coupable? A l'heure de la défiance généralisée, c'est tout le défi que va devoir relever Marcos Uzal. Parce que, sur la ligne éditoriale, on peut se montrer confiant, même si on ne sait rien encore de ce qu'elle sera (on peut néanmoins s'en faire une petite idée à travers le texte "La foire aux auteurs" qu'avait écrit Uzal l'an dernier dans Trafic où il développait, en même temps qu'il rendait compte des films vus à Cannes, son rapport à la politique des auteurs). Mais, à bien réfléchir, ne pose-t-on pas le problème à l'envers? Le risque n'est-il vraiment que du côté de la rédaction? On peut parfaitement concevoir que ce sont surtout les producteurs qui ont pris un risque en participant au rachat de la revue, sachant que les Cahiers c'est, autant qu'une marque, une institution qui en soixante-dix ans n'a jamais cédé sur son indépendance, quand bien même la menace était présente, et qu'aujourd'hui il n'y a pas de raison que cela change (je vois mal Uzal ne pas obtenir de garanties à ce niveau avant d'accepter le poste). Pour le dire autrement: racheter les Cahiers quand on est producteur de films n'est-ce pas prendre le risque (calculé) que la revue en dise parfois du mal (de nos films), espérant que la prochaine fois, pour d'autres films (qu'on aura produits), eh bien, l'accueil sera meilleur. Vu comme ça, la question de la liberté rédactionnelle ne se pose plus, du moins en ces termes, même s'il demeurera toujours des facteurs plus difficiles à contrôler, comme dans toute revue... Rien n'empêche dès lors de poursuivre l'aventure. Et faire que les Cahiers échappent une nouvelle fois à ce qu'on leur prédit depuis trente ans... Echappent à quoi? (et Chappaqua?) Bah à leur propre mort, régulièrement annoncée, toujours repoussée.
Voilà pour le présent. Après neuf mois d'activité, le nouveau bébé Cahiers, s'il n'a pas encore pris sa forme définitive, n'en demeure pas moins rassurant quant aux craintes soulevées initialement sur son aptitude à demeurer indépendant (cf. l'accueil réservé à ADN, le film de Maïwenn). Et maintenant, remontons le temps...
(à suivre)
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"sans pour autant les qualifiées" !? Vous regardez trop le foot, Buster !
RépondreSupprimerEt sinon, sur "le manque de recul" comme "facteur limitant, au sens où plus on est proche de la chose passée (...), plus le regard qu'on porte sur celle-ci sera incomplet, focalisé, et donc difficilement juste" : comment alors expliquez-vous que par exemple Daney, quand il achète les Cahiers au moment de la sortie de Hiroshima mon amour, comprend immédiatement que c'est la meilleure des revues de cinéma depuis plusieurs années déjà, et que ce qui s'y écrit compte et comptera ? Et comme on sait, il ne s'y est pas trompé !
Alors pourquoi ne pourrait-on pas avoir, et tout aussi immédiatement, le sentiment inverse en lisant les Cahiers actuels ?
Merci pour la faute, c'est corrigé. Pour le reste, ce que vous dites à propos de Daney n'est pas franchement concluant. D'abord parce que, en 1959, quand sort Hiroshima mon amour, les Cahiers ne vivent pas une nouvelle période, même si de nouveaux critiques sont arrivés... et le recul est suffisant (surtout à cette époque) pour porter un jugement sur une revue qui de plus n'a pas vraiment de rivale (Positif dans les années 50, à part quelques textes de Tailleur et de Benayoun, pff...). Ensuite, parce que ce que dit Daney c'est moins sa position en 1959 (il a 15 ans) que, longtemps après, avec le recul justement, et fort de son approche post-historique du cinéma, un "éclairage" sur ce que le jeune Daney avait dû penser (plus ou moins confusément) du film et ressentir en découvrant les Cahiers. Rien d'étonnant à vrai dire, beaucoup de "cahiéristes" (dont moi) sont passés par cette espèce d'illumination quand ils ont lu pour la première fois la revue (j'ai écrit un texte là-dessus). Le cas des Cahiers actuels est différent (sauf peut-être pour ceux qui vont découvrir la revue à cette occasion mais je ne me situe pas à ce niveau). La question est de savoir, une fois la crise sanitaire passée (et le retour à une activité disons plus normale pour ce qui est du travail critique) quel cap les Cahiers maintiendront, haut, moyen, bas? par rapport à ce qui fait l'identité Cahiers (et ne se résume pas à la seule cinéphilie)... je ne détaille pas, l'identité Cahiers c'est le sujet de mon prochain texte...
SupprimerD'accord, on va attendre de voir...
SupprimerVous vous trompez Buster, Daney avait bien conscience dès l'âge de 15 ans de l'importance des Cahiers.
SupprimerOui ça je ne le nie pas mais pour ce qui est d'Hiroshima je pense qu'il lui a fallu du temps pour que ça se précise, qu'il puisse y mettre des mots, en plus je me demande si Daney ne télescope pas un peu ses souvenirs entre les films de Resnais (Nuit et brouillard, Hiroshima) et sa lecture du texte de Rivette sur Kapo en 1961, entre ce qu'il découvrait au lycée grâce à Agel son prof de français (Nuit et brouillard), le rôle du cinéma dans sa vie, et le texte de Rivette, lu deux ou trois ans plus tard, l'importance des Cahiers qu'il allait rejoindre peu de temps après... la vision d'Hiroshima se situe chronologiquement au milieu et peut-être que s'y mélangent dans sa mémoire Agel et Rivette... tout ça est à vérifier, c'est dans le texte "Le travelling de Kapo" qu'a écrit Daney dans Trafic, je l'ai chez moi mais je ne suis pas chez moi.
Supprimer(sinon il faut demander à Pierre Eugène)
Oui mais alors donc on n'a pas besoin d'un an ou de 5 pour se faire une idée sur les nouveaux Cahiers !
SupprimerOui mais alors... j'ai déjà répondu, la comparaison ne tient pas... et puis Daney c'est Daney, ce qui serait vrai pour lui ne l'est pas nécessairement pour les autres.
SupprimerADN c'est pas mal, en tout cas c'est meilleur que le Mouret !
RépondreSupprimerHé Buster t'en as pensé quoi de ma prestation aux césar ?
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=kquD2uP_FFg
Je découvre... c'est fort, c'est marrant... moi j'aime bien
SupprimerEn quoi c'est drôle et fort ?
SupprimerOui bon, je ne me le repasse pas non plus en boucle... je prends le numéro de Masiero comme une sorte de performance et dans son genre j'ai trouvé ça pas mal. Point. On ne va pas ouvrir un débat.
SupprimerMarrant (et fort) de refuser d'avance tout débat... C'est une performance, Buster ?
SupprimerTout simplement parce que ce n'est pas le sujet du post, qu'on m'a interpelé là-dessus et que j'y ai répondu mais que ça ne m'intéresse pas d'en débattre...
SupprimerC'est qui Pierre Eugène ?
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=lWjaGpHKifE
SupprimerHé hé... merci.
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